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Le CESC de Corse    
   
 

Communiqué du 18/08/2000

 
   
Depuis quelques jours, des actes meurtriers et destructeurs sont à nouveau commis en Corse contre des personnes et des biens publics.
L'immense majorité de la population insulaire, persuadée qu'aucun avenir ne peut être fondé sur la violence, place ses espoirs sur les résultats du dialogue engagé entre tous ses élus et l'Etat.
Seule cette concertation et les mesures qui en découleront peuvent garantir à l'île le développement harmonieux - dont l'ADEC est l'un des vecteurs principaux - et la paix civile auxquels elle aspire.
Au-delà de son aspect criminel, toute action tendant à s'opposer à la réussite de ce processus est donc condamnable en ce qu'elle s'oppose à l'intérêt général.

Raymond Ceccaldi,

Président du Conseil Economique, Social et Culturel de Corse

18/08/2000